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La vie nomade

A quelques jours de mon grand départ pour un roadtrip d’un mois sur la côte est australienne, je crois qu’il est temps de faire le point sur la vie de nomade.


J’ai déjà eu l’occasion de voyager en mode itinérance pendant le Lecture recess (la semaine de vacances pendant le semestre universitaire australien). Et en seulement une semaine, voilà ce que j’ai réalisé à propos de ce mode de vie :


En fait, c’est fatiguant de devoir se réadapter sans arrêt, lutter pour se faire comprendre (langue ET culture), se séparer, se découvrir, changer d’environnement, faire ses preuves, gagner la confiance d’inconnus, montrer qu’on mérite notre place…


Voyager, être itinérant, c’est accepter de ne plus avoir de “home sweet home”. Ou du moins, de ne plus y être. Ou d’en avoir beaucoup ? Mais là, mon moi sédentaire souffre.


Townsville et Rotary sont devenues l’endroit où je me sens chez moi. Ça a pris quelque temps, mais j’ai appris à m’y sentir bien. En revanche, changer constamment d’endroits comme fait un backpacker ne laisse pas le temps de s’installer. Alors attention : cela n’empêche pas de se sentir bien dans ces nouveaux lieux tous aussi magiques les uns que les autres ! Mais c’est différent. On se sent toujours un peu “en trop”, ou “ailleurs”. J’admire donc ces voyageurs de l’extrême et j’espère survivre à ce mois de nomad life.

Ha oui, aussi. N’oubliez pas une chose : quand vous voyagez, vous êtes ambassadeurs de votre pays. Les généralisations se font très vite dans le cadre d’une résidence internationale, ou d’une auberge pour backpackers. Si vous rencontrez un habitant d’un pays qui a une caractéristique particulière, alors dans votre imaginaire tous les habitants de son pays le seront aussi. C’est comme ça que les clichés se construisent ! Alors s’il vous plaît : donnez une bonne image du français.

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